Comment lutter contre la procrastination ?
 |
| Ne jamais dire, ça peut attendre |
La procrastination est le fait de différer une action ou de retarder une décision jusqu’à ce que l’opportunité se perde.
La procrastination est l’ennemi juré du succès. Combattre cette habitude vous met déjà sur le chemin du salut.
Cette attitude dévore le temps et écrase les opportunités.
La chance est un animal débridé demandant à être apprivoisé. La saisir exige vigilance, clairvoyance et résolution. Les opportunités prennent divers chemins et n’ont pas d’horaire précis. Hésiter sur la décision à prendre ou l’action à mener le moment opportun nous met « hors du temps ».
La peur du changement nous bloque et on tourne le dos à des opportunités insoupçonnées. Nous passons ainsi à côté de merveilleuses leçons que les plus difficiles défis peuvent offrir.
Rien n’est plus facile que de remettre les choses à plus tard. Pour cela les excuses ne manquent pas.
Les raisons que les gens avancent pour justifier la procrastination ne doivent pas être les notre. C’est vraiment un handicap qui nous mure derrière l’inaction. Mais bonne nouvelle, c’est surmontable avec un peu de volonté et d’organisation :
1. Ne dite jamais : ce projet est trop pressant !
Si votre conviction est de ne pas avoir assez de temps pour mener à bien ou entamer un projet à un moment donné et que vous pensez pouvoir le faire plus tard, hé bien détrompez-vous !
Vous déchanterez très vite et vous réaliserez que le temps probable ne vient jamais.
Alors quoi faire ? Planifier, planifier et planifier !
Oui, la première étape pour éviter la procrastination est de prendre du temps pour planifier. Quitte à sortir du papier et un stylo et diviser les tâches accablantes en séquences gérables. Chronométrez les tâches à accomplir.
En effet, fractionner les tâches ou activités importantes en petits exercices, vous rendra plus puissant puisque vous prendrez conscience que les tâches les plus ardues ne vous fonts plus peur.
En abordant de grandes tâches de cette manière, vous éviterez d’être submergé.
2. Ne dites jamais : ça peut attendre !
La plupart de ces petites tâches doivent être accomplies à un moment donné. Mais hélas ! Elles sont facilement repoussées à l’arrière-plan au profit de tâches plus importantes.
Ces petites tâches ce sont « le léger » qui pèse. Vous vous dites se débarrasser d’elles en les écartant, mais elles persistent, s’accumulent et deviennent de plus en plus stressantes.
Curieusement, une fois que vous attelez à la besogne, vous vous apercevez qu’elles ne demandent ni beaucoup de temps ni beaucoup d’énergie.
Votre esprit, vous joue des tours en vous berçant de l’illusion que les tâches infimes disparaîtraient d’elles-mêmes ou par une quelconque aide mystérieuse. Hélas ! C’est par le détail que vient le diable. Vous pourrez payer le prix le plus fort si le travail à faire, si infime qu’il soit, n’est pas fait le moment opportun.
Qui plus est, le stress dans lequel vous vous mettez avec cette attitude vous fait perdre de lucidité.
Quelqu’un avait dit à juste titre : « Chaque fois que vous remettez à plus tard les tâches d’aujourd’hui, vous alourdissez les fardeaux de demain. »
Alors, ne reportez plus ce qui est inévitable et essayez de programmer tout le temps nécessaire. Suffisamment de temps pour vous soulager de toutes les petites tâches.
Cette attitude doit devenir votre habitude dorénavant. Ce qui doit être fait, faites-le en son temps. Vous aurez à gagner à tous les coups.
Ces petites tâches ce sont « le léger » qui pèse. Vous vous dites se débarrasser d’elles en les écartant, mais elles persistent, s’accumulent et deviennent de plus en plus stressantes.
Curieusement, une fois que vous attelez à la besogne, vous vous apercevez qu’elles ne demandent ni beaucoup de temps ni beaucoup d’énergie.
Votre esprit, vous joue des tours en vous berçant de l’illusion que les tâches infimes disparaîtraient d’elles-mêmes ou par une quelconque aide mystérieuse. Hélas ! C’est par le détail que vient le diable. Vous pourrez payer le prix le plus fort si le travail à faire, si infime qu’il soit, n’est pas fait le moment opportun.
Qui plus est, le stress dans lequel vous vous mettez avec cette attitude vous fait perdre de lucidité.
Quelqu’un avait dit à juste titre : « Chaque fois que vous remettez à plus tard les tâches d’aujourd’hui, vous alourdissez les fardeaux de demain. »
Alors, ne reportez plus ce qui est inévitable et essayez de programmer tout le temps nécessaire. Suffisamment de temps pour vous soulager de toutes les petites tâches.
Cette attitude doit devenir votre habitude dorénavant. Ce qui doit être fait, faites-le en son temps. Vous aurez à gagner à tous les coups.
3. Ne dites jamais : maintenant je ne peux pas parfaire le travail !
La quête du parfait est une attitude louable. Mais quand elle diverse sur les excès (planification excessive ; organisation excessive ; propreté excessive etc.), elle mène à la procrastination. Etre trop consciencieux et méticuleux pour tous les détails en vue de mener son projet à la perfection peut s’avérer épuisant à la longue.
En outre, vous nuisez à votre projet en préférant la poursuite d’un idéal de perfection à une recherche d’une efficacité fonctionnelle.
Votre but doit être l’efficacité et l’efficience plutôt que la perfection.
De par notre nature, on est trop limité pour pouvoir atteindre la perfection. M. Goethe estimait que celui qui reconnait consciemment ses limites est le plus proche de la perfection.
La vie n’est pas parfaite. Et quelque part, l’idée de l’imparfait est une preuve de la perfection dans ce monde.
Alors ne vous tracassez pas et commencez dès aujourd’hui à vous organiser pour avoir toujours le temps nécessaire pour accomplir les petites tâches quotidiennes qui s'imposent.
Votre plaisir dépendra des petites réussites et non des perfections probables de la vie.
En outre, vous nuisez à votre projet en préférant la poursuite d’un idéal de perfection à une recherche d’une efficacité fonctionnelle.
Votre but doit être l’efficacité et l’efficience plutôt que la perfection.
De par notre nature, on est trop limité pour pouvoir atteindre la perfection. M. Goethe estimait que celui qui reconnait consciemment ses limites est le plus proche de la perfection.
La vie n’est pas parfaite. Et quelque part, l’idée de l’imparfait est une preuve de la perfection dans ce monde.
Alors ne vous tracassez pas et commencez dès aujourd’hui à vous organiser pour avoir toujours le temps nécessaire pour accomplir les petites tâches quotidiennes qui s'imposent.
Votre plaisir dépendra des petites réussites et non des perfections probables de la vie.
Commentaires
Enregistrer un commentaire